Métier: contrôleur aérien
Les métiers de l'aéronautique et de l'espace
Le métier
La mission
dévolue à l'Ingénieur du Contrôle de la Navigation Aérienne (ICNA) est
d'assurer la sécurité et la fluidité du trafic aérien. Les contrôleurs
aériens sont des fonctionnaires de la Direction Générale de l'Aviation
Civile (DGAC), qui font partie du Ministère de l'Equipement, des
Transports et du Logement. Le métier de
contrôleur aérien exige un esprit d'analyse et de décision très
aiguisé. Il doit être capable de gérer simultanément de multiples
informations (importance du trafic, conditions météorologiques,
trajectoires des avions), en assurant le suivi de chaque avion.
Œil du pilote, le contrôleur aérien lui fournit les indications nécessaires sur les appareils qui l'entourent. Il collabore étroitement avec le pilote pour toute manœuvre de décollage, d'approche ou d'atterrissage.
Répartis en équipes de deux sur une position de contrôle, les contrôleurs suivent chaque appareil à partir de paramètres tels que : la position, l'altitude, la vitesse de l'aéronef..., dont ils disposent sur écran, et communiquent par radio avec les pilotes.
Affecté dans l'un des cinq centres de la navigation aérienne où s'effectue le contrôle en route (Brest, Bordeaux, Athis-Mons, Reims et Aix en Provence) ou dans les tours de contrôle des principaux aéroports français, l'ingénieur du contrôle de la navigation aérienne exerce un métier pointu où toutes les décisions dont il est responsable à 100% sont prises en temps réel.
Comme tous les autres métiers opérationnels, le contrôleur aérien travaille en horaires décalés, le service de contrôle fonctionnant 7 jours sur 7, dans certains cas 24 heures sur 24.
Œil du pilote, le contrôleur aérien lui fournit les indications nécessaires sur les appareils qui l'entourent. Il collabore étroitement avec le pilote pour toute manœuvre de décollage, d'approche ou d'atterrissage.
Répartis en équipes de deux sur une position de contrôle, les contrôleurs suivent chaque appareil à partir de paramètres tels que : la position, l'altitude, la vitesse de l'aéronef..., dont ils disposent sur écran, et communiquent par radio avec les pilotes.
Affecté dans l'un des cinq centres de la navigation aérienne où s'effectue le contrôle en route (Brest, Bordeaux, Athis-Mons, Reims et Aix en Provence) ou dans les tours de contrôle des principaux aéroports français, l'ingénieur du contrôle de la navigation aérienne exerce un métier pointu où toutes les décisions dont il est responsable à 100% sont prises en temps réel.
Comme tous les autres métiers opérationnels, le contrôleur aérien travaille en horaires décalés, le service de contrôle fonctionnant 7 jours sur 7, dans certains cas 24 heures sur 24.
La formation
La seule formation qui permet de devenir contrôleur aérien en France est proposée par l'Ecole Nationale de l'Aviation Civile (ENAC). Elle est accessible en passant un concours d'entrée qui est organisé chaque année dans les grandes villes de France. Ce concours est ouvert aux élèves en deuxième année de classe préparatoire scientifiques ou titulaire d'un BTS ou d'un DUT à caractère scientifique ou d'un master. Il faut aussi avoir de moins de 27 ans au 1er janvier de l'année du concours et il est nécessaire d'avoir un bon niveau en anglais. A noté que la cette les trois années de la formation sont rémunérées.
Adresse:
Ecole Nationale de l'Aviation Civile (ENAC)
7, avenue Edouart Belin – BP 4055 - 31055 Toulouse Cedex 4
Conditions d'embauche et carrière
Recruté au sein de la DGAC (Direction Générale de l'Aviation Civile) afin d'assurer les missions de Contrôleur Aérien, deux conditions sont nécessaires à l'embauche :
- Avoir suivi de manière satisfaisante la formation ICNA dispensée par l'Ecole Nationale de l'Aviation Civile (ENAC)
- être reconnu apte médicalement à l'exercice de cette mission.
Source: France 5 emploi
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